Utilisateur:Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Développement étrusque brouillon histoire
[modifier | modifier le code]- Le quartier étrusque de Rome
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Le litus tuscus (quartier étrusque à Rome) est localisé à droite du Tibre sur cette carte. -
L'emblème de la Trastevere, l'ancien quartier étrusque de Rome[apha 1]
La lecture des indices archéologiques, épigraphiques tels que la tablette au lion" à cursus typographique suggérant l'hospitalité envers les voisins étrangers à Rome[a] et littéraires antiques, suggèrent de manière significative que Rome, au tournant du VIIe siècle av. J.-C. est terre d'accueil des multiples peuples provenant de l'Italie centrale et méridionale[b], mais toutefois présentant une forte majorité ethnique d'origine étrusque[2],[3]. De surcroît , l'ensemble des fouilles effectuées sur le site tibérien, mettent en évidence la présence certaine d'un quartier entier situé sur la rive droite du Tibre, et dont l'architecture et les différents biens domestiques découverts procèdent d'un substrat étrusque : il s'agit du litus tuscus[4],[5],[6], ou encore du « ripa veiens »[c][7],[8]. Dans ce cadre, il est possible de définir une véritable
« gens étrusque, la gens « Ruma » qui aurait ainsi donné son patronyme à la ville »
— Jean-Marc Irollo, Histoire des étrusques, 2010, page 166[7].
,[9],[10],[11]. Par conséquent, dans ce cadre historique, un fait invasif étrusque sur la métropole romaine semble invalidé. En contre-point, la thèse d'une installation étrusque de nature pacifique pourrait être privilégiée[3],[10],[11],[1],[12],[13]
- Tarquin l'Ancien, le premier roi de Rome d'origine étrusque
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Tarquin l'Ancien demandant conseil à l'haruspice étrusque Nevius. Œuvre de la renaissance de l'italien Sebastiano Ricci. -
« Lucius Tarquinius Pricus Lucomnies », dit Tarquin l'Ancien, ici sur une littographie le représentant de profil. Il est le 5e souverain de Rome (règne : -616 - -578) et également le 1er d'origine ethnique étrusque.
Au cours de la première moitié du VIIe siècle av. J.-C., le cadre historique et événementiel des étrusques se détermine essentiellement au travers de leur expansion territoriale et politique au sein de la plaine padane, au Nord, et des aires géographiques septentrionales de la Campanie, du Latium, et de l'Ombrie, au Sud. Outre la confédération des cités-états étrusques fondée dans le courant du VIIIe siècle av. J.-C., la civilisation étrusque administre donc deux nouveaux territoires : la dodécapole padane et la dodécapole méridionale. Les étrusques fondent ainsi telles que « Pyrgi », « Caiatia », [[Heba (Étrurie)|« Heba »], dans la partie étrusco-méridionale et métropoles telles que « Atria »[d], Cesena,Felsina, Forcello di Bagnolo San Vito et « Kaituna », dans la partie étrusco-padane. En parallèle de cet élément et au cours de cette même période, le pouvoir politique étrusque semble entretenir et cultiver des relations diplomatiques tempérées, voire sereines avec ses proche voisins romains[e] et italo-grecs, lesquelles sont sous-tendues par des échanges commerciaux et culturels pérennes et intensifs[16],[17]{{,}[7],[3].
Toutefois, la seconde moitié du VIe siècle av. J.-C., est marquée par une déteriation de ses rapports d'entente internationales et politiques[18],[19].
- Andreas Alföldi, Early Rom and the Latins, Ann Arbor, Michigan, 1963
- Raymond Bloch, Les origines de Rome, Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? », 1985 (8e éd.), (ISBN 2130432956)
- Mireille Cébeillac-Gervasoni, Alain Chauvot et Jean-Pierre Martin, Histoire romaine, Paris, Armand Colin, (ISBN 2200265875)
- Michel Christol et Daniel Nony, Rome et son empire, des origines aux invasions barbares, Hachette, (1re éd. 1974) (ISBN 2-01-145542-1)
- Pierre Grimal, La Civilisation romaine, Paris, Flammarion, (1re éd. 1960) (ISBN 2080811010)
- Jacques Heurgon, Rome et la Méditerranée occidentale jusqu'aux guerres puniques, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Nouvelle Clio : l'histoire et ses problèmes » (no 7), (réimpr. 1980), 3e éd. (1re éd. 1969), 477 p. (ISBN 2-13-045701-0 et 978-2-13-045701-5, ISSN 0768-2379, BNF 35585421, présentation en ligne)
- Alain Hus, Les Étrusques et leur destin, Paris, Picard, (ISBN 2-7084-0047-9).
- Marcel Le Glay, Rome, grandeur et déclin de la République, Perrin, (ISBN 2-262-00751-9).
- André Magdelain, De la royauté et du droit de Romulus à Sabinus, Rome, L'Erma di Bretschneider, coll. « Saggi di storia antica » (no 8), , 220 p.
- Paul M. Martin, L'idée de royauté à Rome. 1, De la Rome royale au consensus républicain, Clermont-Ferrand, Adosa, coll. « Miroir des civilisations antiques » (no 1), , XXV-410 p. (ISBN 2-86639-020-2)
- (it) Mario Amelotti, Lineamenti di storia del diritto romano, Milan, A. Giuffrè, , 762 p. (ISBN 88-14-01823-5)
- (it) Lorenzo Fascione, Il Mondo nuovo: La costituzione romana nella "storia di Roma arcaica" di Dionigi d'Alicarnasso, Naples, Jovene Ed., , 222 p.
- Riccardo Orestano, I fatti di normazione nell'esperienza romana arcaica, Turin, G. Giappichelli, , 278 p.
- (it) Giovanni Pugliese, avec la collaboration de Francesco Sitzia et Letizia Vacca, Istituzioni di diritto romano, Turin, G. Giappichelli, , 1015 p. (ISBN 88-348-0165-2)
- (it) Giuseppe Valditara, Studi sul magister populi: dagli ausiliari militari del rex ai primi magistrati repubblicani, Milan, A. Giuffrè, coll. « Pubblicazioni dell'Istituto di Diritto Romano », , 435 p. (ISBN 88-14-01886-3)
- Claude Nicolet, Rome et la conquête du monde méditerranéen 264–27 av. J.-C., Paris, PUF, coll. « Nouvelle Clio, l'Histoire et ses problèmes », , 10e éd. (1re éd. 1979), 462 p. (ISBN 2-13-051964-4)
Ce constat d'usure des relations diplomatiques entre les 2 états de l'Italie antique, se concrétiserait par une prise du pouvoir institutionnel romain par les étrusques aux environs de -650 et ce, jusqu'à la conclusion du VIe siècle [22]. De facto, les périodes de règnes étrusques sur Rome semblent relever de multiples incursions militaires issuent des cités-états de « Tarchna »[g][21],[19], de « Velx »[h],[24],[26], et dans une moindre mesure, Chuisi[27].
En contrepoint, il est difficile de prendre en compte des faits invasifs provenant de « Tarchna » ou de « Velx ». Dans un cadre purement géostratégique, les 2 métropoles étrusques ne possédant ni frontières communes, ni une tangible proximité spatiale, ce postulat semble que peu plausible. Toutefois, l'argument décisif, se matérialiserait autour d'un éventuel statut de condottieri[28],[1].
- Tarquin l'Ancien, le premier roi de Rome d'origine étrusque
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Tarquin l'Ancien demandant conseil à l'haruspice étrusque Nevius. Œuvre de la renaissance de l'italien Sebastiano Ricci. -
« Lucius Tarquinius Pricus Lucomnies », dit Tarquin l'Ancien, ici sur une littographie le représentant de profil. Il est le 5e souverain de Rome (règne : -616 - -578) et également le 1er d'origine ethnique étrusque.
Au début des années -610, « Lucius Tarquinius Pricus Lucomnies » (dit Tarquin l'Ancien), vient s'installer à Rome afin d'y exercer un rôle politique de premier plan. L'ambitieux descendant d'une riche famille de nobles et commerçants étrusques, évolue promptement au sein de la scène politique romaine, laquelle est représentée par deux assemblées : la comices curiates[29],[30],[31]
- Claude Nicolet, Rome et la conquête du monde méditerranéen 264–27 av. J.-C., Paris, PUF, coll. « Nouvelle Clio, l'Histoire et ses problèmes », , 10e éd. (1re éd. 1979), 462 p. (ISBN 2-13-051964-4)
d'une part, et comices calates, d'autre part[29]. Grâce à ses dons naturel d'orateur et de stratège politique, le noble étrusque parvient à préscrire et apposer son empreinte sur la jeune monarchie démocratique et ce, probablement au détriment du 4e souverain romain d'origine sabine, Ancus Marcius. Ouvrageant pour son accession au siège suprème, Tarquin l'ancien réunit derrière lui les forces militantes de la plèbe romaine et, tout en éloignant les descendants d'Ancus Marcius, se fait proroger roi de Rome par cooptation démocratique des deux comices, en -616 [32],[33]
Notes étrusques 2
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Présence étrusque en Gaule méridionale : http://dam.revues.org/1881
Rosa Plana-Mallart, « La présence grecque et ses effets dans le Nord-Est de la péninsule Ibérique (viie – début du ive siècle av. n. è.) », Pallas, 89 | 2012, 157-178.
Référence électronique
Rosa Plana-Mallart, « La présence grecque et ses effets dans le Nord-Est de la péninsule Ibérique (viie – début du ive siècle av. n. è.) », Pallas [En ligne], 89 | 2012, mis en ligne le 10 mars 2014, consulté le 01 juillet 2016. URL : http://pallas.revues.org/802
Bouquin intégral :
http://mefra.revues.org/691
- Michel Bats, « Les Grecs de l’Extrême Occident : Les Phocéens, Marseille et la Gaule (VIIIe siècle av. J.-C. - IIIe siècle av. J.-C. s. av. J.-C.) », dans Laurianne Martinez-Sève (directrice d'ouvrage), Les diasporas grecques du VIIIe à la fin du IIIe siècle av. J.-C. : Actes du colloque de la SOPHAU, tenu à l’Université Charles-de-Gaulle, Lille 3 les 11 et 12 mai 2012 (Halma - Ipel - UMR 8164 / Lille 3 Learning Center archéologie - Égyptologie), vol. 89, Lille, Presses Universitaires du Mirail, (ISBN 978-2-8107-0226-8, lire en ligne), pages 145 à 156
Michel Bats, « Les Phocéens, Marseille et la Gaule (viie-iiie s. av. J.-C.) », Pallas, 89 | 2012, 145-156. Michel Bats, « Les Phocéens, Marseille et la Gaule (viie-iiie s. av. J.-C.) », Pallas [En ligne], 89 | 2012, mis en ligne le 10 mars 2014, consulté le 30 juin 2016. URL : http://pallas.revues.org/792
- Gilles Van Heems, « Dynamiques dialectales en périphérie : le cas d'Aléria », dans collectif, Régler l'usage : norme et standard dans l'Italie préromaine, Rome, Publications de l'École française de Rome, (ISSN 1724-2134, lire en ligne)
Gilles van Heems, « Dynamiques dialectales en périphérie : le cas d’Aléria », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité [En ligne], 124-2 | 2012, mis en ligne le 25 juillet 2013, consulté le 01 juillet 2016. URL : http://mefra.revues.org/853
- Yves Liébert, Regards sur la truphè étrusque, Limoges, Presses Universitaires de Limoges, , 354 p. (ISBN 2842874110, EAN 978-2842874117, lire en ligne)
- Jean Gran-Aymerich et Prayon Friedhelm, « Les fouilles franco-allemandes sur le site étrusque de la Castellina del Marangone, près Civitavecchia, Italie : Les campagnes de 1995 et 1996 », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 140, no 4, , p. 1095 à 1129 (DOI 10.3406/crai.1996.15665, lire en ligne, consulté le )
Gran-Aymerich Jean, Prayon Friedhelm. Les fouilles franco-allemandes sur le site étrusque de la Castellina del Marangone, près Civitavecchia, Italie. Les campagnes de 1995 et 1996. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 140ᵉ année, N. 4, 1996. pp. 1095-1129.
DOI : 10.3406/crai.1996.15665
www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1996_num_140_4_15665
- Paul Fontaine, « À propos des inscriptions « Śuθinα » sur la vaisselle métallique étrusque », Revue des Études Anciennes, vol. 97 (Vaisselle métallique, vaisselle céramique. Productions, usages et valeurs en Étrurie, sous la direction de Jean-René Jannot), nos 1 et 2, , p. 201 à 216 (DOI 10.3406/rea.1995.4618, lire en ligne, consulté le )
Fontaine Paul. À propos des inscriptions Śuθinα sur la vaisselle métallique étrusque. In: Revue des Études Anciennes. Tome 97, 1995, n°1-2. Vaisselle métallique, vaisselle céramique. Productions, usages et valeurs en Étrurie, sous la direction de Jean-René Jannot. pp. 201-216.
DOI : 10.3406/rea.1995.4618
www.persee.fr/doc/rea_0035-2004_1995_num_97_1_4618
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(it) Dominique Briquel, « La questione delle origini etrusche nella Francia dell’Illuminismo : Le proposte de Nicolas Fréret », dans Vincenzo Bellelli, Stéphane Bourdin, Maria Paola Castiglioni et Paola Santoro, Origines : percorsi di ricerca sulle identità etniche nell'Italia antica : Identity problems in Early Italy : a workshop on methodology, vol. 126-2, Rome, Publications de l'École française de Rome, coll. « Varia - Regards croisés », (lire en ligne)
Dominique Briquel, « La questione delle origini etrusche nella Francia dell’Illuminismo », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité [En ligne], 126–2 | 2014, mis en ligne le 17 décembre 2014, consulté le 19 juin 2016. URL : http://mefra.revues.org/2296
Pierre-Paul Bonenfant et Jean-Paul Guillaumet, « État des recherches effectuées par les auteurs sur la sculpture préromaine en Europe », Documents d’archéologie méridionale [En ligne], 25 | 2002, mis en ligne le 06 octobre 2006, consulté le 19 juin 2016. URL : http://dam.revues.org/309
ISSN électronique 1955-2432
Gabriel Zuchtriegel, « An open-air sanctuary on an amphora by the Pittore delle Gru and the cult of Artemis in early Etruria », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité, 123-1 | 2011, 5-11.
Gabriel Zuchtriegel, « An open-air sanctuary on an amphora by the Pittore delle Gru and the cult of Artemis in early Etruria », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité [En ligne], 123-1 | 2011, mis en ligne le 04 juin 2013, consulté le 18 juin 2016. URL : http://mefra.revues.org/472
Brouillon Plan de structure article étrusques
[modifier | modifier le code]Bloc-note Candes-Saint-Martin
[modifier | modifier le code]Hydrographie : [1] ; pluviométrie et débit fluvial : [2] ou ; http://www.eptb-vienne.fr/IMG/pdf/Diag_territorial_BV_Vienne_Aval_VF310111_allege1.pdf| il y a matière ; pas mal du tout ceci ; peut-être quelque-chose par-là... ; détail crue 2010 ; toujours dans les crues ; moins sûr, mais jettes-y un coup d'œil ; hydrographie et environnement ; historique plutôt
Histoire
[modifier | modifier le code]étymologie
[modifier | modifier le code]Origines et ethnogenèse
[modifier | modifier le code]L'histoire des étrusques avant la Fondation de Rome
[modifier | modifier le code]L'histoire des étrusques après la Fondation de Rome
[modifier | modifier le code]Période monarchique
[modifier | modifier le code]==== Période républicaine ==== ;;
éléments géographiques
[modifier | modifier le code]Territoire
[modifier | modifier le code]Cités-états
[modifier | modifier le code]Comptoirs
[modifier | modifier le code]= Péninsule ibérique
[modifier | modifier le code]= Gaule méditerranéenne
[modifier | modifier le code]Italie méridionale
[modifier | modifier le code]Îles méditéranéennes
[modifier | modifier le code]Culture
[modifier | modifier le code]Politique
[modifier | modifier le code]Religion
[modifier | modifier le code]= Philosophie religieuse
[modifier | modifier le code]Panthéon
[modifier | modifier le code]Rites funéraire
[modifier | modifier le code]Jeux et sport
[modifier | modifier le code]Arts
[modifier | modifier le code]Diffusion de la culture étrusque
[modifier | modifier le code]économie
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[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Numismatique
[modifier | modifier le code]Héritage
[modifier | modifier le code]Empire Romain
[modifier | modifier le code]Moyen-âge italien
[modifier | modifier le code]Renaissance italienne
[modifier | modifier le code]époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Hypothèses encore d'actualité
[modifier | modifier le code]Muséographie
[modifier | modifier le code]thnogé

Brouillon infra-réf-source Tolumnii
[modifier | modifier le code]- Larth Tolumnies, zilath étrusque de Veis
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Gravure lithographique réalisée en 1904 par Lord Thomas Badington MacCauley[34], représentant « Larth Tolumnies » dans le conflit qui oppose Rome à « Veis », au cours du Ve siècle av. J.-C..
la dynastie des « Tolumnii »[i]
Brouillon carte Tombe à char du monde celtique : Gros plan sur les sites hallstattiens moyens et ancien/C et D, laténiens anciens, moyens et récents/A, B et C et du Haut-Empire gallo-romain
[modifier | modifier le code]La carte qui suit représente les principaux sites archéologiques du Hallstatt moyen et final/C et D et laténiens et haut-empire romain présentant des sépultures dites à char et de culture celtique en Gallia comata et Gallia belgica[k]'[l]'[m],[n],[o],[p],[q]
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Bernard Lambot et Patrice Méniel, « La tombe à chars d'Évergnicourt (Aisne) : Le Tournant du Chêne », Revue archéologique de Picardie, vol. 22, no 1, , p. 327 à 354 (DOI 10.3406/pica.2005.2737, lire en ligne, consulté le )
Lambot Bernard, Méniel Patrice. La tombe à chars d'Évergnicourt (Aisne), "Le Tournant du Chêne". In: Revue archéologique de Picardie. Numéro spécial 22, 2005. Hommages à Claudine Pommepuy. pp. 327-354.
DOI : 10.3406/pica.2005.2737
Raepsaet Georges. Franck PERRIN et Martin SCHÖNFELDER (Dir.), La tombe à char de Verna (Isère) : témoignage de l'aristocratie celtique en territoire allobroge. . In: L'antiquité classique, Tome 74, 2005. pp. 659-660.
La Côte-Saint-André longitude = 5.26138888889 | latitude = 45.3944444444
Légendes :
- Les principaux sites de tombes à char celtes du hallstatt moyen et final/C et D sont représentés par les triangles rouges.
- Les principaux sites de tombes à char celtes du laténien ancien, moyen et récent/A, B et C sont représentés par des points ocre/jaune.
- Les principaux sites de tombes à char celtes du haut-empire romain du sont représentés par des points rouges.
brouillon infobox et biblio char de Monteleone di Spoletto
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Char de Monteleone | ||||
![]() Char dit de Monteleone vu de face, ici exposé à la galerie 170 du M.E.T. de New-York[r] | ||||
Type | char funéraire et d'apparat[68] | |||
---|---|---|---|---|
Dimensions | 130,9 cm (longueur) x 51 cm (hauteur) x 209 cm (largeur) | |||
Inventaire | numéro 03.23.1[68] | |||
Matériau | bronze laminé ; ivoire ; bois | |||
Méthode de fabrication | sculpture en bas-relief ; cerclage ; laminage | |||
Fonction | artéfact à vocation funéraire | |||
Période | époque étrusco-archaïque ; 2(nd) quart du VIe siècle av. J.-C. (entre -575 et -550) | |||
Culture | faciès archéo-culturel étrusque | |||
Date de découverte | 1902 | |||
Lieu de découverte | sépulture de Monteleone di Spoleto, agglomération de Spoleto, province de Pérouse, région de l'Ombrie | |||
Coordonnées | 42° 39′ 00″ nord, 12° 57′ 00″ est | |||
Conservation | M.E.T. de New-York | |||
Signe particulier | Il s'agit du plus imposant artéfact archéologique étrusque confectionné en bronze mis au jour | |||
Fiche descriptive | références techniques et muséographiques du M.E.T. de New-York[68] | |||
Géolocalisation sur la carte : Pérouse
Géolocalisation sur la carte : Ombrie
Géolocalisation sur la carte : Italie
| ||||
modifier ![]() |
- Mireille Cébeillac-Gervasoni (dir.) et Laurent Lamoine, Les élites et leurs facettes : les élites locales dans le monde hellénistique et romain, Presses Universitaires Blaise Pascal, , 792 p. (lire en ligne), pages 606 à 610
- Philippe De Montebello, The Metropolitan Museum of Art Guide, New York, N.Y., Metropolitan Museum of Art, , 470 p. (lire en ligne), page 68
- (en) Richard Daniel De Puma, Etruscan Art in the Metropolitan Museum of Art, New York, N.Y., Metropolitan Museum of Art, , 336 p. (lire en ligne), pages 46 à 52
- (en) Otto Brendel et Francesca R. Serra Ridgway, « The Monteleone di Spoleto tomb group : colle del capitano », dans Otto Brendel, Francesca R. Serra Ridgway, Etruscan Art, vol. 42, New-York, Yale University Press, , 535 p. (lire en ligne), pages 46 à 95
- Adriana Emiliozi, The Etruscan Chariot from Monteleone di Spoleto, Metropolitan Museum Journal, , 132 p. (lire en ligne)
Gros plan tombe à char région champagne-ardennes
[modifier | modifier le code]La carte qui suit représente les principaux sites archéologiques du Hallstatt moyen et final/C et D et laténiens et haut-empire romain présentant des sépultures dites à char et de culture celtique localisés dans le Nord-Est de la Gallia comata[s]'[t]'[u]'[v],[w],[x],[y],[z]
Essai Catégorie:Peuples celtes d'Italie
[modifier | modifier le code]Cette catégorie regroupe les articles portant sur les peuples celtes de l'Italie.
Catégorie:Peuple celte Catégorie:Histoire de l'Italie Catégorie:Peuple de la Rome antique
Essai Palette:Civilisation de Golasecca
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Essai palette tombe à char
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Notes étrusques 4
[modifier | modifier le code]- La série des céramiques étrusco-corinthiennes des maschera umana.
Dominique Briquel, « Philologie italique et latine », Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques, 144 | 2013, 67-72.
Référence électronique
Dominique Briquel, « Philologie italique et latine », Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques [En ligne], 144 | 2013, mis en ligne le 22 octobre 2014, consulté le 14 juillet 2016. URL : http://ashp.revues.org/1467





- Calcarénite étrusque
[79],
Contributeur : Stefano Camporeale <stefano.camporeale@gmail.com> Soumis le : mardi 10 juillet 2012 - 17:11:03 Dernière modification le : lundi 28 septembre 2015 - 14:06:34
- Compatangelo-Soussignan Rita. Modalités de la romanisation en Italie méridionale : fondations coloniales, structures portuaires et commerce maritime au début du IIe s. av. n. è. In: Histoire, espaces et marges de l'Antiquité : hommages à Monique Clavel-Lévêque. Tome 2. Besançon : Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, 2003. pp. 255-290. (Collection « ISTA », 899)
www.persee.fr/doc/ista_0000-0000_2003_ant_899_1_2001
- Karageorghis Vassos. Chronique des fouilles et découvertes archéologiques à Chypre en 1986. In
- Bulletin de correspondance hellénique. Volume 111, livraison 2, 1987. pp. 663-733.
www.persee.fr/doc/bch_0007-4217_1987_num_111_2_6813
- Pallas, 50/1999. Mélanges C. Domergue 2.
www.persee.fr/issue/palla_0031-0387_1999_num_50_1
- Vallet Georges, Villard François, Auberson Paul. Mégara Hyblaea. 1. Le quartier de l'agora archaïque. Texte et illustrations. Rome : École Française de Rome, 1976. 730 p. (Publications de l'École française de Rome, 1)
www.persee.fr/doc/efr_0000-0000_1976_arc_1_1
- Coastal archaeology in north Etruria [North Coastal Etruria. Géomorphologie, archaeological, archive, magnetometric and geoelectrical researches ]
[Article]
North Coastal Etruria. Géomorphologie, archaeological, archive, magnetometric and geoelectrical researches
M. Pasquinuccisem-linksem-link S. Menchellisem-linksem-link R. Mazzantisem-linksem-link M. Marchisiosem-linksem-link L. D 'Onofriosem-linksem-link
/ Revue d'Archéométrie / Year 2001 / Volume 25 / Issue 1 / pp. 187-201
Abstracts
Bibliographical reference
Pasquinucci Marinella, Menchelli Simonetta, Mazzanti Renzo, Marchisio Mario, D 'Onofrio Laurent. Coastal archaeology in north Etruria [North Coastal Etruria. Géomorphologie, archaeological, archive, magnetometric and geoelectrical researches ]. In: Revue d'Archéométrie, n°25, 2001. pp. 187-201.
DOI : 10.3406/arsci.2001.1014
www.persee.fr/doc/arsci_0399-1237_2001_num_25_1_1014
- Marbre étrusque
Laurent Hugot, « La Grèce et l’Étrurie dans l’Ouest de la France », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, 115-2 | 2008, 107-120.
Référence électronique
Laurent Hugot, « La Grèce et l’Étrurie dans l’Ouest de la France », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest [En ligne], 115-2 | 2008, mis en ligne le 30 juin 2010, consulté le 11 juillet 2016. URL : http://abpo.revues.org/334 ; DOI : 10.4000/abpo.334
Magali Cabarrou, Christian Darles et Pierre Pisani, « Essai de description d’un bâtiment des eaux de Toscane, l’édifice mystérieux de Pietratonda (Gr) », Pallas, 90 | 2013, 389-403.
Référence électronique
Magali Cabarrou, Christian Darles et Pierre Pisani, « Essai de description d’un bâtiment des eaux de Toscane, l’édifice mystérieux de Pietratonda (Gr) », Pallas [En ligne], 90 | 2013, mis en ligne le 13 mars 2014, consulté le 11 juillet 2016. URL : http://pallas.revues.org/1099
Référence électronique
Suzanne Tassinari, « Digressions autour de vases domestiques en bronze », in Martine Denoyelle, Sophie Descamps-Lequime, Benoît Mille et Stéphane Verger (dir.), « Bronzes grecs et romains, recherches récentes » — Hommage à Claude Rolley, INHA (« Actes de colloques »), 2012, [En ligne], mis en ligne le 04 juillet 2016, consulté le 11 juillet 2016. URL : http://inha.revues.org/4028
Ariane Villemaux, « Les tombeaux étrusques de l’Ouest de la France », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, 115-2 | 2008, 121-130.
Référence électronique
Ariane Villemaux, « Les tombeaux étrusques de l’Ouest de la France », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest [En ligne], 115-2 | 2008, mis en ligne le 30 juin 2010, consulté le 11 juillet 2016. URL : http://abpo.revues.org/336 ; DOI : 10.4000/abpo.336
essai épigraphe de Prestino
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Inscription du Gradin de Prestino | ||
![]() Épigraphe en écriture Lépontique issue d'un architectural proto-historique du faubourg de Prestino, agglomération de Côme, en Lombardie. | ||
Type | Épigraphie / Inscriptions lapidaires | |
---|---|---|
Dimensions | 18 centimètres ( épaisseur ) x 380 centimètres ( longueur ) x 33 centimètres ( largeur ) | |
Inventaire | 8777 | |
Matériau | Linteau de pierre Calcaire | |
Méthode de fabrication | Sculpture par intaille | |
Fonction | Stèle dédicacée | |
Période | Ve siècle av. J.-C. | |
Culture | Culture de Golasecca | |
Date de découverte | 1966 ( lors d'un sauvetage effectué à Lugano, près de Côme | |
Lieu de découverte | Prestino di Como, agglomération de Côme, en Lombardie, Italie | |
Coordonnées | 45° 49′ 00″ nord, 9° 05′ 00″ est | |
Conservation | Musée Civique Archéologique Paolo Giovio, à Côme[82],[83],[84] | |
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1 | ||
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Découverte du stego
[modifier | modifier le code]Lieu de la découverte
[modifier | modifier le code]- Lieu de la découverte du spécimen de l'Éléphantidé nain.
-
Le complexe spéléologique naturel de Liang Bua où ont été découverts les restes osseux fossilisés du '. -
L'île indonésienne à volcanisme actif de Florès, située dans la région indonesienne des Petites îles de la Sonde orientales, au sein de l'Océan indien. La Liang Bua est localisée au cœur du Kabupaten de Manggarai, dans la partie occidentale de l'île.
Historique de la découverte
[modifier | modifier le code]À la fin des années 1990 / années 2000, en 1997, un calendrier de programmation de recherches et de fouilles paléontologiques est lancé à l'initiative conjointe des Hautes Écoles Universitaires d'Histoire naturelle des États-Unis et de l'Indonésie. Ce programme avait pour objet l'étude de période géologique du plio-quaternaire inférieur à moyen dans le Sud-Est asiatique, et tout particulièrement au sein des Petites îles indonésiennes de la Sonde orientales. Deux équipes de paléontologistes mettent en œuvre ces travaux : la première sous la direction de Mike Morwood, et la seconde sous le chapeautage conjoint de Gert van den Beert et Paul Sonaar[85],[86],[87],[88],[89].
Les options de recherches de terrain s'orientent essentiellement sur des structures cavernicoles subvolcaniques, dont notamment le complexe spéléologique de Liang Bua, située dans l'Ouest de l'île de Florès[90].
Après quelques déblaiement de surface réalisés à la brosse et au pinceau, les scientifiques parviennent à extraire des vestiges fossilisés de type osseux. Ces derniers étaient incorporés au sein des premières couches sédimentaires de la caverne de Liang Bua. Par le biais d'analyses morphologiques et anatomiques, les paléontologistes identifient les restes squelettiques du spécimen comme appartenant l'ordre des Elephantidae[91],[92].
famille des Stegodontidae Stegodon trigonocephalus florensis[N 2],[88],[92],[90],[N 3]. L'individu paléontologique était incorporé aux premières couches stratigraphiques de la Grotte de Liang Bua[86],[93],[94],[90]. Par l'obtention d'une analyse au (14C), les deux équipes de chercheurs indexent les restes osseux[N 4] du pachyderme nain[N 5],[95],[96] dans une fourchette chronologique comprise entre −75 000 et −30 000[86],[85],[97],[92],[90],[88]. Par conséquent, on détermine que ce dernier aurait vécu à la subdivision chrono-géologique du pléistocène supérieur[88],[98],[86],[85],[97],[94],[99],[92],[90].
- Reconstitution informatisée et vitrines d'exposition d'un Stégodon.
-
Reconstitution par ordinateur d'un Stegodontidae. -
Boîte crânienne pourvue de ses défenses d'un Stegodontidae exposée et conservée au Museum of natural history de Londres. -
Molaire provenant d'un Stegodon orientalis.
Études, analyses et taxonomie
[modifier | modifier le code]Les études phylogénétiques effectuées sur l'individu fossilisé, révèlent que ce dernier appartient à la famille des Stegodontidae. Par ailleurs, les chercheurs déterminent que celui-ci présente les caractéristiques phénotypiques des espèces du genre biologique des Stegodons. Compte-tenu des spécificités morphologiques du Stegodon de Liang Bua, on atteste que ce type d''espèce biologique n'avait été, jusqu'alors, non-repertoriée. En biais de ce nouvel élément, les scientifiques s'accordent consensus omnium pour définir le nom scientifique[N 6] du spécimen holotype par les termes : Stegodon trigonocephalus florensis,[88],[92],[100],[101],name="vandenbergh25">Van den Bergh Awe Due, p. 25</ref>.
,(en) G.D. Van Den Bergh, Rokhus Due Awe et al., « Insularity and its Effects : The youngest stegodon remains in Southeast Asia from the Late Pleistocene archaeological site Liang Bua, Flores, Indonesia », Quaternary international, vol. 182, , p. 18-46 (DOI 10.1016/j.quaint.2007.02.001, lire en ligne, consulté le ).</ref>,[N 7]. L'individu paléontologique était incorporé aux premières couches stratigraphiques de la Grotte de Liang Bua[86],[93],[94],[90]. Par l'obtention d'une analyse au (14C), les deux équipes de chercheurs indexent les restes osseux[N 8] du pachyderme nainErreur de référence : Balise fermante </ref>
manquante pour la balise <ref>
,[96] dans une fourchette chronologique comprise entre −75 000 et −30 000[86],[85],[97],[92],[90],[88]. Par conséquent, on détermine que ce dernier aurait vécu à la subdivision chrono-géologique du pléistocène supérieur[88],[102],[86],[85],[97],[94],[99],[92],[90].
- Reconstitution informatisée et vitrines d'exposition d'un Stégodon.
-
Reconstitution par ordinateur d'un Stegodontidae. -
Boîte crânienne pourvue de ses défenses d'un Stegodontidae exposée et conservée au Museum of natural history de Londres. -
Molaire provenant d'un Stegodon orientalis.
Essais Stégo oriental et Lepto robuste
[modifier | modifier le code]Stego oriental
[modifier | modifier le code]Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Sous-embr. | Vertebrata |
Classe | Mammalia |
Sous-classe | Theria |
Infra-classe | Eutheria |
Ordre | Proboscidea |
Famille | Stegodontidae |
Genre | Stegodon |
Essai taxobox intro, plan et sources : Marabout robustus / Leptoptilos robustus
[modifier | modifier le code]Leptoptilos orientalis
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Classe | Aves |
Ordre | Ciconiiformes |
Famille | Ciconiidae |
Genre | Leptoptilos |
Essais "Je suis Bruxelles"
[modifier | modifier le code]Essais cartes Europe/Points
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Essai multi-infobox sites archéo, grotte, patrimoine, grotte, etc...
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Oppida celtes | |
![]() Un oppidum celte typique datant du Ier siècle av. J.-C.. | |
Localisation | |
---|---|
Pays | Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, Croatie, France, Espagne, Hongrie, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, République Tchèque, Suisse. |
Europe | Europe Celtique |
Superficie | Varie de 4 hectares à plus de 100 hectares |
Histoire | |
Époque | Hallstatt D et période Laténienne. |
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Essai multi-infobox Tombe à char
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| ||||||||||||||||
Tombe à char du monde celtique
Sépulture à char de Châlons-en-Champagne, mise au jour en 1890 par Albert Poinchy de Richebourg et comportant un char gaulois de type laténien A1/A2, ainsi que deux ensembles complets, l'un guerrier, et l'autre destiné à un équidé[N 9]'[103],[104],[105]. La tombe champenoise est attribuée au Ve siècle av. J.-C. ( entre -475 et -425)[106],[105].
Subdivisions Hallstatt moyen et final/C et D ; La Tène A ; La Tène B ; La Tène C ; début de la période romaine Objets typiques char de guerre, d'apparat et de rituel religieux ; harnachement d'équidés (selle, mors, étriers, bride à cheval, baudrier, harnais et différents enrênements) ; kiné ; éléments de vaissellerie ; artéfacts ouvragés de bronze ; οἰνοχόη / oinokhóê ; urne et ciste cinéraire ; tumulus de pierre brute et de terre. |
{{Multi-infobox
Grotte de Ban Fa Suai Tham Ban Fa Suai ; soit en Thaï : ได้ แต่พิจารณาตรวจสอบผลการค้นหาด้านล่างเพื่อดูว่ามีหัวข้อนี้เขียนขึ้นแล้วหรือยัง | |
Massif de Chiang Dao ou ผาสองฤดู. | |
Localisation | |
---|---|
Pays | ![]() |
Province de Chiang Mai ou Changwat de Chiang Mai | Province de Chiang Mai |
Indochine | Indochine |
Protection | site archéologique |
Coordonnées | 19° 24′ 06″ nord, 98° 49′ 26″ est |
Altitude | 915,2 m |
Internet | |
Site web | http://mapcarta.com/27914148 |
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{{Infobox Grotte
| nom = Grotte de Ban Fa Suai | image = ผาสองฤดู.jpg | légende = Montagnes de Chiang Dao | latitude = 19.4018 | longitude = 98.8239 | pays = Thaïlande | région = Province de Chiang Mai | lien région = Province de Chiang Mai | subdivision = Mae Daeng | lien subdivision = Mae Daeng | massif = [[Doi Chiang Dao] | vallée = | localité = Ban Fa Suai | voie = | altitude = 915.2 | longueur = 50 mètres | âge = Oligocène final - miocène moyen | type = Site paléontologique | déco = | température = | rivière = | occupation = Rhinocéros laineux | protection = Patrimoine classé | géolocalisation = Thaïlande
}} }}


Brouillon montagne
[modifier | modifier le code]
Pyrénées | |
![]() Carte des Pyrénées. | |
Géographie | |
---|---|
Altitude | 3 404 m, Aneto |
Longueur | 430 km |
Largeur | 150 km |
Superficie | 19 000 km2 |
Administration | |
Pays | ![]() ![]() ![]() |
Régions Communautés autonomes |
Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées et Aquitaine Catalogne, Aragon, Navarre et Pays basque |
Géologie | |
Âge | Éocène (env. 40 Ma) |
Roches | Roches métamorphiques et sédimentaires |
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Brouillon carte en coin
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Brouillon légende de carte
[modifier | modifier le code]celtes et des pôles d'exportations en relations avec le territoire golaseccien
[modifier | modifier le code]- Carte des principaux sites princiersdu Hallstatt final et laténiens A ayant des relations commerciales et politiques avec le territoire golaseccien et les trois principaux pôles exportateurs de cette époque[N 10], réalisée d'après l'ouvrage Golasecca : Du commerce et des hommes à l'Âge du Fer, sous la direction de Veronica Cicolani et Christine Lorre[107],[108],[109] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; et l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[110],[111] :
Légendes :
- Les deux principaux pôles golasecciens et Milan/Mediolanum sont symbolisés par les points rouges ;
- Les principaux sites celtes sont représentés par les triangles rouges ;
- Les 3 pôles exportateurs outre-celtiques[N 11] sont symbolisés par les points de couleur ocre/jaune.
Brouillon monument ou site
[modifier | modifier le code]
Grotte de Khao Luang en thaï : ไแต่พิจารณาตรวจสอบผลการค้นหาด้านล่างเพื่อดูว่ามีหัวข้อนี้เขียนขึ้นแล้วหรือยัง | ||
La Grotte de Khao Luang | ||
Localisation | ||
---|---|---|
Pays | ![]() |
|
Nakhon Si Thammarat | Province de Nakhon Si Thammarat | |
Asie-Pacifique | Asie-Pacifique | |
Coordonnées | 8° 29′ 39″ nord, 99° 43′ 48″ est | |
Altitude | 1 835 m | |
Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
| ||
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Temple de Khao Luang | ||
Temple bouddique de Khao Luang | ||
Présentation | ||
---|---|---|
Culte | Bouddha | |
Géographie | ||
Pays | ![]() |
|
Coordonnées | 8° 29′ 39″ nord, 99° 43′ 48″ est | |
Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
| ||
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Grotte de Khao Luang | ||
La Grotte de Khao Luang]] | ||
Localisation | ||
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Pays | ![]() |
|
Nakhon Si Thammarat | Province de Nakhon Si Thammarat | |
Coordonnées | 8° 29′ 39″ nord, 99° 43′ 48″ est | |
Altitude | 1 835 m | |
Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
| ||
modifier ![]() |
Caractères spéciaux ( utilisation wiki pour articles wiki via interface portable mobile )
[modifier | modifier le code]- caractères spéciaux æ Æ à À â  ä Ä á Á · ç Ç · € é É è È ê Ê ë Ë · î Î ï Ï í Í · œ Œ ô Ô ö Ö ó Ó · ù Ù û Û ü Ü ú Ú · ÿ Ÿ · « » {{subst:}} {{}} {{|}} [[]] [[|]] [] “” · — – → • ’ | … ~ ± # @ ¹ ² ³ ⁴ ⁵ ⁶ ⁷ ⁸ ⁹ ⁰ ½
- éléments syntaxiques spéciaux : [[Catégorie:]] [[Fichier:]] [[Média:]] Spécial:Diff/ #REDIRECTION [[]] · Commons: m: n: q: s: b: wikt: v: d: · <></>
·
- symboles mathématiques : ≠ ≤ ≥ < > ≡ ≈ ≅ ∝ · − × ÷ ± ⊥ ⊕ ⊗ ∗ · … ¼ ½ ¾ ¹ ² ³ ° ‰ · ∂ ∫ ∑ ∞ ∏ √ ∇ · ← → ↔ ⇐ ⇒ ⇔ · ⌈ ⌉ ⌊ ⌋ · ¬ ∧ ∨ ∃ ∀ · ∈ ∉ ∋ ∅ ⊆ ⊇ ⊃ ⊂ ⊄ ∪ ∩ ℵ
- formules mathématiques et diactriques : ^{} _{} \sqrt[]{} \frac{}{} \int_{}^{} \lim_{\rightarrow} \sum_{=}^{}
\sin{} \cos{} \tan{} · \cot{} \sec{} \csc{} · \exp{} \ln{} \log{} · \sinh{} \cosh{} \tanh{} \coth{} · \arcsin{} \arccos{} \arctan{}
\acute{} \breve{} \check{} \grave{} \tilde{}
Essais infobox artefact
[modifier | modifier le code]1
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Statue de Casa Nocera | ||
Statue B de Casa Nocera, à Casale Marittimo, en Toscane | ||
Type | Sculpture anthropomorphe | |
---|---|---|
Matériau | calcaire à grain fin | |
Méthode de fabrication | ronde-bosse | |
Fonction | funéraire | |
Période | fin du VIIIe siècle av. J.-C. / début du VIIe siècle av. J.-C.. | |
Culture | Étrusques | |
Lieu de découverte | Casale Marittimo | |
Coordonnées | 43° 18′ 00″ nord, 10° 37′ 00″ est | |
Géolocalisation sur la carte : Italie
| ||
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1 | ||
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Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1 | ||
![]() | ||
Période | ||
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Culture | ||
Lieu de découverte | ||
Coordonnées | 43° 18′ 00″ nord, 10° 37′ 00″ est | |
Géolocalisation sur la carte : Italie
| ||
![]() | ||
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Carte points géolocalisation sites de la Culture de Golasecca en Lombardie
[modifier | modifier le code]
Carte géoloc musées Joanneum
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Brouillon d'essai contrat avec contributeur WP
[modifier | modifier le code]Bonjour, je viens ici pour mettre un terme définitif à notre différent. Avec ton aide, je souhaite parvenir à un consensus qui nous permettent l'un et l'autre d'envisager une collaboration positive et un travail constructif. Ces derniers tes multiples modifications quasi-systématiques sur mes propres contributions, y compris des pages WP sur lesquelles tu n'avais jamais été auparavent ([5] ; [6] ; [7] ; [8] ; [9] ; [10] ; [11] ; [12] ; [13] ; [14] ; [15] ; [16] ; [17] ; [18] ; [19] ; [20] ; [21] ; [22] ; [23] ; [24] ; [25] ; [26] ; [27] ; etc...). À ce titre, je me sens particulièrement visé et incidemment, démotivé. J'ai été, de mon côté, relativement consensuel, en écoutant, puis en appliquant à maintes reprises tes remarques sur les recommandations en modèle harvsp, par exemple. Apparemment, cela n'a pas été suffisant. Si tu penses que je n'ai pas ma place sur WP, en raison d'un mauvais travail de ma part, autant me l'annoncer tout de suite. Si il y a d'autres raisons (et à priori, je ne vois pas lesquelles), évoques-les maintenant. Je joue franc-jeu, et j'attends de toi la même chose. Il me sera impossible d'entreprendre seul une telle coopération : il s'agit donc d'un contrat sur l'avenir sur lequel je demande ton aval. Dans cette même optique, je te propose l'intervention de Racconish, afin que ce contrat soit positif et concrêt pour l'un, comme pour l'autre. C'est donnant-donnant. Cordialement,--signature.
Brouillon d:essai B.U. Je suis Bruxelles
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Essai Ca'Morta/Sites Celtes
[modifier | modifier le code]- Carte des principaux sites princiersdu Hallstatt final et laténiens A ayant des relations commerciales et politiques avec le territoire golaseccien et les trois principaux pôles exportateurs de cette époque[N 12], réalisée d'après l'ouvrage Golasecca : Du commerce et des hommes à l'Âge du Fer, sous la direction de Veronica Cicolani et Christine Lorre[107],[108],[109] :
Infobox hallstatt
[modifier | modifier le code]Autres noms | Culture hallstattienne : période chronologique propre à la civilisation celte |
---|---|
Lieu éponyme | Site archéologique de la ville de Hallstatt dans le Landër de Salzkammergut, en Autriche. |
Auteur | L'historien et archéologue suédois Hans Olof Hildebrand. |
Répartition géographique | L'aire géographique hallstattienne couvre un espace allant de Avaricum à l'Ouest jusqu'aux contreforts des Carpates à l'Est et de la Bavière septentrionale au Nord, jusqu'aux chaînes préalpines suisses, au Sud. |
---|---|
Période | 1er Âge du fer |
Chronologie | Fin du XIIe siècle av. J.-C. / fin du Ve siècle av. J.-C. |
Type humain associé | Civitas celtes |
Tendance climatique | Tempéré de types océanique et continental |
Signe particulier | L'ère de la civilisation hallstattienne prend fin tandis que l'ère chronologique de La Tène ( second âge du fer débute ). |
Subdivisions
Hallstatt A, Ha B, Ha C et Ha D
Objets typiques
Torque ; char celto-hallstattien ; casque de Negau ; poignard à antennes
Infobox civilisation égéenne
[modifier | modifier le code]Autres noms | Âge du bronze égéen |
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Lieu éponyme | Mer Égée |
Répartition géographique | Côtes et îles de la Mer Égée, Grèce continentale |
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Période | Âge du bronze |
Chronologie | Du XXXIIe siècle av. J.-C. au XIe siècle av. J.-C. ( −3 200 à -1100 ) |
Type humain associé | Grecs |
Tendance climatique | Climat méditerranéen |
Subdivisions
Civilisation des Cyclades / Civilisation Minnoienne / Civilisation Mycénienne
golac
[modifier | modifier le code]Autres noms | Période chronologique protohistorique de tribus celtes d'Italie médio-septentrional |
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Lieu éponyme | Le site archéologique de Golasecca, dans la province de Varese, en Lombardie, Italie, inauguré par l'Abbé Giovanni Batista Gianni en 1822. |
Auteur | L'Abbé Giovanni Batista Giani[113], l'archéologue Gabriel de Mortillet[114],[115],[116] et l'archéologue et ancien directeur du Musée national d'archéologie Alexandre Bertrand[117]. |
Répartition géographique | Aire spatiale recouvrant l'actuelle Lombardie, l'Est du Piémont, le canton du Tessin en Suisse et la Vénétie occidentale |
---|---|
Période | IXe siècle av. J.-C. / milieu du IVe siècle av. J.-C. |
Chronologie | G I / G II / G III |
Type humain associé | Les celtes d'Italie médio-septentrionaux |
Tendance climatique | Tempéré à caractère montagnard |
Signe particulier | L'ère dite de Golasecca commence à partir des premières migrations celtes en Italie du Nord vers -850 et se conclut avec le début des premières vagues d'invasions gauloises de la plaine du Pô, vers -375[118],[119]. |
Subdivisions
G IA ; G IB / G IIA ; G IIB ; GIIC / G IIIA ; G IIIB ; G IIIC
Objets typiques
Casque de Negau, char de type hallstattien, épée courte dite à antennes celte, fibules en bronze d'importation étrusque, vase dit de Schnabelkanne, ciste dite à cordons, kyatos, en bronze, divers objets de vaissellerie d'importation étrusque, italique, et grecque.
Refs en mode Harvard
[modifier | modifier le code]- Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[120] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[111]; l'ouvrage Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au e ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells de Ruth et Vincent Megaw[121],[122] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Age du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [123]
,[124],[125] ; et enfin, selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[126] :
Brouillon d'essai tableau récap chrono europe hallstatt
[modifier | modifier le code]- Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[120] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[111],[127] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Age du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [123] ; et enfin selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[128] :
Système de datation archéologique de l'Europe | Chronologie | Évènements en Europe | Monde hellénistique | Monde italico - étrusque | Monde celtique | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Celtes d'Allemagne du Sud | Celtes de la Gallia comata/Gaulois | Celtes d'Europe de l'Est | Celtes golasecciens / Italie du Nord-Ouest | |||||
0,6 — 0,25 | Europe, Afrique, Chine | 1,8 | 60 | 1100 — 1400 | Nombreux | 1908 | ||
? | Afrique du Sud | 1,5 | 45 | 465 — 563 | Au moins 15 individus | 2013 / 10 Septembre 2015 | ||
0,23 — 0,03 | Europe, Ouest de l'Asie | 1,6 | 55 — 70 | 1200 — 1700 | Nombreux | (1829) / 1864 | ||
-700 / | Géométrique récent | Villanovien II | Hallstatt C / Ha C | Hallstatt ancien / Ha ancien | Hallstatt C | Golasecca I A | ||
-600 / VIe siècle av. J.-C. | Grèce orientalisante | Villanovien III | Halstatt C/Ha C | Hallstatt Ancien | Halstatt C/Ha C | GIC / GIIA | ||
-500 / Ve siècle av. J.-C. | Fondation de Massillia -400 | Grèce archaïque | Étrusques | Hallstatt D/Ha D | Hallstatt moyen - final/Ha moyen - final | Hallstatt D/Ha D | GIIB | |
-300 / IVe siècle av. J.-C. | Sac de Rome ( -384 ) | Fondation de Massillia - Période classique | Étrusques | La Tène A | La Tène Ancienne | La Tène orientale | GIIC - GIIIA |
Perspective chrono-culturelle
[modifier | modifier le code]- Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[120] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[111]; l'ouvrage Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au e ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells de Ruth et Vincent Megaw[121],[122] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Age du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [123],[124],[125] ; et enfin selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[126] :
Chrono culturel La Tène
[modifier | modifier le code]Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[120] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; l'ouvrage de Venceslas Kruta : Les Celtes, histoire et dictionnaire : des origines à la romanisation et au christianisme[129],[130],[131] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[132]; l'ouvrage Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells de Ruth et Vincent Megaw[133],[134] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Age du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [123] ,[124],[125] ; et enfin, selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[126] :
Carte mondial elephantidae nains
[modifier | modifier le code]Légendes :
- Les principaux sites méditerranéens sont représentés par les triangles rouges ;
- Les 3 sites archéologiques Indonésiens sont symbolisés par les points rouges ;
- Les 3 sites archéologiques d'Amérique du Nord sont symbolisés par les points de couleur ocre/jaune.
sauvegarde étrusque 5
[modifier | modifier le code]Dans un premier temps, on distingue deux lignes longitudinales : tout d'abord un ligne occidentale formée par les plaines côtières longeant la mer Tyrrhénienne, dont l'épicentre est approximativement déterminé par « Rusellæ »[135],[136],[137],[138],[139],[140] ; et dans un second temps, un vaste espace centrale de faible altitude évoluant du Nord au Sud[141].
D'autre part, le territoire étrusque observe et s'organise par le biais de deux axes latitudinaux, lesquels coïncident et correspondent aux cours fluviaux (l'Arno et l'Ombrone), se développant d'Est en Ouest[142],[143],[144],[145],[146],[147],[148].
Brouillon de sauvegarde étrusque 2
[modifier | modifier le code]Notes étrusques 3
[modifier | modifier le code]- La chute des rois étrusques de Rome
-
Lars Porsenna, le dernier roi étrusque de Rome supposé (-509 - 508). -
Lucius Junius Brutus, neveu de Tarquin le Superbe, principal fondateur de la république romaine en -509. Œuvre en bronze actuellement conservée et exposée au Musée du Capitole, à Rome.
Les années de règne de Tarquin le Superbe se manifestent et se présentent sous le signe de la tyrannie. En -509, le 6e roi de Rome se fait proscrire de la magistrature suprème, par une coalition patricienne essentiellement composée de 4 principaux intervenants : Lucius Brutus, son propre neveu et dont on attribue traditionnellement la création et la paternité de l'avènement républicain de Rome ; Lucius Tarquinius Collatinus, dit « Tarquin Collatin », et également membre de la dynastie des Tarquins ; Valerius Publicola ; et enfin Lucrèce Tricipitin. La trame historique retraçant l'expulsion de Tarquin le Superbe, et l'avènement de la République romaine au détriment de ce dernier, nous est notamment fournie au travers des écrits antiques de Tite-Live, Denys d'Halicarnasse et Fabius Pictor (-254 - 204)[149],[150],[151],[152],[153],[154],[155].
Notes 6
[modifier | modifier le code]Jean Peyras, « Le vocabulaire militaire des arpenteurs latins du Haut-Empire », dans Jean Peyras, Les vocabulaires techniques des arpenteurs romains : Actes du colloque international (Besançon, 19-21 septembre 2002), vol. 993, Besançon, Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, coll. « ISTA », (lire en ligne), chap. 1, pages 137 à 148 Peyras Jean. Le vocabulaire militaire des arpenteurs latins du Haut-Empire . In: Les vocabulaires techniques des arpenteurs romains. Actes du colloque international (Besançon, 19-21 septembre 2002) Besançon : Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, 2006. pp. 137-148. (Collection « ISTA », 993)
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- Philppe Morel, « L'État médicéen au XVIe siècle : de l'allégorie à la cartographie. », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Italie et Méditerranée, Publications de l'Ecole française de Rome, vol. tome 105, no 1, , p. 93 à 131 (DOI 10.3406/mefr.1993.4252)
BibTex
- Jean Jehasse et Laurence Jehasse, Aléria : Nouvelles données de la nécropole., vol. 34, t. Tome I : Texte ; Tome II : Planches, Lyon, Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, , 638 p. (lire en ligne)
Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, 2001. 638 p. (Travaux de la Maison de l'Orient méditerranéen, 34)
http://www.persee.fr/doc/mom_1274-6525_2001_mon_34_1
- Jehasse Jean, Jehasse Laurence. Aléria. Nouvelles données de la nécropole. Tome I : Texte. Tome II : Planches. Lyon : Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, 2001. 638 p. (Travaux de la Maison de l'Orient méditerranéen)
http://www.persee.fr/issue/mom_1274-6525_2001_mon_34_1
- book intégral : Italie avant Rome - Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, tome 100, n°1. 1988.
http://www.persee.fr/issue/mefr_0223-5102_1988_num_100_
- Florence Hérubel, « Mobilier étrusque en Languedoc occidental (VIe - Ve s. av. J.-C.) », Documents d'Archéologie Méridionale, vol. 23, , pages 87 à 112. (DOI 10.3406/dam.2000.1136, lire en ligne, consulté le )
Cités-États
[modifier | modifier le code]Vue d'ensemble
[modifier | modifier le code]- Organisation territoriale et politique étrusque
-
Carte géographique mettant en évidence les douze cités-états étrusques, organisation politique territoriale également appellée : Dodécapole étrusque.
- Organisation politique et sociale
La société étrusque était en apparence organisée et sa vie politique et sociale structurée. Le Lucumon est au sommet de la hiérarchie aidé par la classe oligarchique des maîtres, et enfin les esclaves et les paysans. L'Étrurie était dirigée par 12 rois dirigeant les 12 villes-états (12 lucumonies) de la confédération dodécapole de l'Étrurie : Véies, Cisra (Caere des Romains), Tarquinia, Vulcia, Velzna déplacée à Volsinii nova, Clusium, Perusia, Cortone, Arretium, Volaterrae, Vetulonia, Fiesole[156]. Les lucumonies étaient unies uniquement par des liens religieux. Les villes étrusques étaient très individualistes, aucune ne dominait et il n'y avait pas de solidarité politique.
« N'allez pas penser que cette ligue de douze villes étrusques impliquait une solidarité entre elles. Chaque cité était son propre royaume. Et c'est cet esprit individualiste qui a fait chuter les Étrusques devant Rome. »
— Jean-Paul Thuillier, le Sourire des Étrusques[157]
Il y avait 3 dodécapoles étrusques (ligues ou « mech »), chacunes composées de 12 lucumonies : la dodécapole formée des {{unité|12|cités-états initiales, également appellée la ligue étrusque ; la dodécapole padanne ; et enfin la dodécapole campanienne[158],[159],[160],[161],[162].
Dodécapole initiale
[modifier | modifier le code]Dodécapole campanienne et padanne
[modifier | modifier le code]Carte
[modifier | modifier le code]![]() Ça y est, c'est dans la boîte...[modifier | modifier le code]
Nota bene : J'espère que tu n'as pas pris ombrage de petit sobriquet Gente Détective sur la pdd du guerrier ; c'est juste amicale essais infobox langue morte[modifier | modifier le code]
Brouillon infobox ouvrage[modifier | modifier le code]
| titre = La science du Disque-Monde | auteur1 = Terry Pratchett | auteur2 = Jack Cohen | auteur3 = Ian Stewart | pays = | préface = | directeur = | genre = | lieuparution = | éditeur = | collection = | dateparution = | image = | légende = | dessinateur = | artiste_couverture = | série = | type_média = | pages = | isbn = | précédent essai infobox peuple ou ethnie antique[modifier | modifier le code]
Essais infobox alphabet langue morte[modifier | modifier le code]
Nouvelle signature wiki[modifier | modifier le code]Essai Taxobox[modifier | modifier le code]Grenouille x Panthera tigris tigris
Tigre du Bengale (Panthera tigris tigris) |
Répartition géographique
Essai infobox personnage fictif : Don Salluste
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Don Salluste | |
Personnage de fiction apparaissant dans Ruy Blas. |
|
![]() Huile des Six personnages de Victor Hugo, par le peintre Louis Boulanger. Le personnage de Don Salluste est représenté en haut, à gauche de la toile. | |
Nom original | Don Salluste |
---|---|
Origine | Espagnol |
Sexe | Masculin |
Créé par | Victor Hugo |
Films | La Folie des grandeurs |
Pièces | Ruy Blas |
modifier ![]() |
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jacques Bachelier, « Dossier pédagogique "Ruy Blas" de Victor Hugo », La Mesnie H. Cie J. Bachelier, , p. 1 à 24 (lire en ligne, consulté le )
- Collectif ( Compagnie Chatôt-Vouyoucas Théâtre Gyptis, « Dossier de presse : "Ruy Blas" Victor Hugo », Académie de Lettres d'Aix-en-Provence / Marseille ( site web officiel ), , p. 1 à 9 (lire en ligne, consulté le )
http://www.lettres.ac-aix-marseille.fr/Presse_ruy_blas.pdf http://www.lamesnieh.com/pdf/rb_dossier_pedagogique.pdf http://souhaib.etude-fr.over-blog.com/article-25301229.html
Bandeau label B.A.
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Le 27 février 2016, Guerrier de Capestrano a été proposé pour être reconnu comme « bon article ». Vous pouvez donner votre avis sur cette proposition.
Ça y est, c'est dans la boîte... (2)[modifier | modifier le code]Ça y est, c'est dans la boîte...3[modifier | modifier le code]
|
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- Irollo 2010, p. 167
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- ↑ Irollo 2010, p. 164
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- Piel et Mineo 2011, p. 64
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- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 165
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- Daniele Vitali, Les Celtes : Trésors d'une civilisation ancienne, Éditions White Star, , 207 p. (ISBN 978-88-6112-467-7), page 15. Erreur de référence : Balise
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- Daniele Vitali, Les Celtes : Trésors d'une civilisation ancienne, Éditions White Star, , 207 p. (ISBN 978-88-6112-467-7), page 15. Erreur de référence : Balise
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- ↑ Chemain 2016, p. 18
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